"L'homme castré : Les tablettes sumériennes contiennent des représentations des Anunnaki manipulant la génétique humaine dans des "éprouvettes" (figure 119) et un extraordinaire artefact vieux de plusieurs milliers d'années trouvé en Colombie confirme la connaissance détaillée du processus interne de la naissance dans le monde antique, ainsi que des compétences dépassant les possibilités actuelles. Connu sous le nom de disque génétique, il comporte des représentations d'ovules et de spermatozoïdes humains qui ne peuvent être vues qu'au microscope (Fig. 120). Le disque est également fait de lydite, une pierre très dure qui se brise facilement lorsqu'elle est coupée en raison de sa structure. Le chercheur Klaus Dona affirme que des experts en la matière lui ont dit qu'il ne serait pas possible de fabriquer le même disque aujourd'hui avec le même matériau. Le thème de la naissance se poursuit au verso du disque avec des images d'un fœtus, mais regardez comment les "personnes" sont représentées - elles ne sont certainement pas humaines (Fig 121). On a également trouvé des instruments d'accouchement en lydite qui confirment une connaissance avancée du processus et l'avis des experts est qu'ils ne pourraient pas non plus être fabriqués aujourd'hui en lydite. Le corps humain a certainement fait l'objet d'un épissage important des gènes, ce qui revient un peu à couper des images dans un film et à les remettre dans un ordre différent, afin de modifier la structure génétique. Cela se fait aujourd'hui en laboratoire, mais comment cela a-t-il été fait il y a des lustres par des peuples supposés primitifs ? Le chercheur et écrivain américain Lloyd Pye étudie les origines de l'homme depuis des décennies. Il souligne que l'ADN humain présente plus de 4 000 défauts, contre seulement quelques centaines chez les chimpanzés et les gorilles. La science dominante a reconnu des changements soudains dans la génétique humaine il y a environ 200 000 ans et à nouveau il y a environ 35 000 ans. Rappelons que Rebecca Cann, professeur adjoint de génétique à l'université d'Hawaï, a cosigné une étude dans la revue Nature, affirmant que les humains modernes descendent d'une seule mère qui vivait en Afrique vers 200 000 ans avant Jésus-Christ. Les échelles de temps sont difficiles à établir, notamment parce que le temps est une illusion et qu'il est difficile d'être précis, même dans la perception humaine du temps et de l'histoire. Les textes gnostiques disent que les Archontes étaient là avant les humains et que les manipulations ont eu lieu pratiquement depuis le début, mais c'est après le cataclysme géologique et les manipulations génétiques que le contrôle est vraiment passé à la vitesse supérieure. J'ai le sentiment que les bouleversements terrestres dont j'ai parlé et les manipulations génétiques remontent très loin dans le temps, tel que nous le percevons. Il y a certainement eu d'énormes catastrophes il y a environ 11 500 ans et la manipulation génétique s'est poursuivie. Les tablettes sumériennes indiquent que les rois de Sumer, dérivés des Anunnakis, pouvaient remonter une lignée de 240 000 ans. Certains chercheurs en la matière semblent penser que le détournement s'est produit au cours des derniers milliers d'années, mais je ne suis pas d'accord. Je pense que la manipulation des Archontes remonte à l'arrivée de l'humanité et qu'elle s'est déroulée en une série d'étapes au fur et à mesure que le contrôle devenait de plus en plus extrême et sévère. Figure 119 : Représentation par Mesoptamia de la création d'"Adamu", le nouvel être humain génétiquement manipulé. Figure 120 : Le disque génétique. Figure 121 : Le verso du disque et ses images claires de la procréation et de la génétique."